Bon, ben voilà, Ost est venu, puis il est reparti... Je pense que nous avons passé une bonne journée, il a eu l'occasion de voir plein de choses sur la BA116 !!!
Mais bon, je ne dirais rien, je lui laisse raconter ses deux journées...
Un seul regret : je n'avais pas pris l'appareil photo...
Ost sur Luxeuil...
Modérateurs : Ost, mogwai, blacksheep
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et sur Nancy
Eh ben tout à commencé jeudi matin en fait, avec l'acceuil en gare de Nancy par un pote qui a fait quelques années là-bas en escadron 2000D.
Vers 14h15/14h30, nous sommes arrivé sur la BA 133, et il m'a accompagné au 1/3 Navarre où il m'a laissé entre les mains d'un NOSA (callsign : ZEBRA)qui m'a fait un topo plus que complet sur la préparation d'une mission type (temps de paix sur le territoire national).
Ensuite, passage sur le simu en place au sein de chaque escadron (qui est plus un simu d'acquisition et de restitution des procédures qu'un simu de vol proprement dit). J'ai quand même fait du suivi de terrain (200ft/600kts) en auto et en manuel, et une séquence AS30L (le fait d'avoir un navigateur bombardier simplifie grandement la tâche ).
Après ça, direction une hangarette où j'ai eu une présentation extérieure détaillée du 2000D et un passage dans le bac pilote pour donner une idée de la chose. confirmation par rapport au simu : Y'a pas beaucoup de place mine de rien.
A peine sorti de là, on a croisé un équipage qui se dirigeait vers son avion pour un départ en mission dans le sud de la France. Le temps que le NOSA prépare son avion (alignement INS et autres), le pilote faisait le tour de l'avion avec un personnel de piste. Pour ma part, j'étais assis sur l'entrée d'air gauche et ne manquait rien de ce que me disait le-dit NOSA (callsign : LAPIN). J'ai eu droit à une démo pod de désignation laser et à une explication sur la carto intégrée).
Vint ensuite le moment de la mise en route, et du départ de l'avion.
Petit coup d'oeil à la montre, déjà 18h30, je n'ai pas vu passer le temps.
Petit passage au bureau tradition, et acquisition de quelques patchs qui ferons bien dans la collection .
Je vous épargne la soirée, la nuit et le réveil pour en arriver directement aux retrouvailles avec mon leader qui était en circuit d'attente sur le parking visiteur, attendant l'arrivée de son ailier.
Passage à l'entrée base pour récupérer le sésame qui me permettrait de rentrer sur la BA 116 et direction l'ESTS (je laisse à Blacksheep le soin de démystifier de sigle) où nous attends un hangar rempli de 2000N en plein entretien et réparation (le paradis du maquettiste adapte du super-détaillage et du scatch). On bascule sur un autre hangar attenant au premier où des mécaniciens mettent un 2000N sous tension et nous laissent monter en place pilote pour un petit check cockpit (le 2000N est plus rustique que le 2000D en ce qui concerne l'avionique pilote).
Nous remontons dans les bureaux où je fais la connaissance de Mme Blacksheep qui, bien gentiment, passe un coup de téléphone qui nous ouvre les portes du BAR (j'en vois qui rigolent au fond, mais c'est pas ça). En fait, ce BAR là, le seul qui y boit, c'est le réacteur, car il s'agit du Banc d'Essai Réacteur. Et il a une bonne descente puisqu'il consomme 24 500 kilos à l'heure en pleine PC. Et là, nous avons assisté à des tests qui allaient du ralenti sol à la pleine PC. Et ben les gars, ça envoie du gaz un M53 en pleine PC et c'est bô. Pas le temps de s'attarder, nous filons à l'atelier réacteur où nous avons droit à un exposé sur le M53 et sur la manière de le décortiquer pour l'entretenir et le réparer. Impressionnant là aussi.
Nous quittons ensuite la base pour nous restaurer chez Blacksheep pour revenir sur la base pour le dernier "atelier" de la visite, le simulateur .
Le temps d'un explicatif des consoles moniteurs (ben ouais, comme c'est pour un avion biplace, y'a théoriquement 2 moniteurs), pendant qu'un équipage travaillait (j'aurais pas voulu être à sa place, son panneau d'alarmes, c'était les Champs Elysées façon éclairages de Noël ), on discute un peu et arrive le moment où il faut y aller.
Bon, j'avoue, j'étais quand même pas très fier, j'avais une réputation à tenir vis-à-vis de Blacksheep et puis même si "ce n'est qu'un simu", je n'avais pas trop envie de passer pour un blaireau .
Petit explicatif rapide sur les commandes de la part du moniteur qui s'est ensuite installé en place arrière (Blacksheep prenant place sur la plateforme pour superviser tout cela ).
Le seul hic, c'est que mon micro foirait et que je ne pouvais pas répondre au moniteur, mais bon, j'entendais ce qu'il me disait.
Et c'est parti : freins serrés, 103% affiché, on lâche les freins et on enclenche la PC. Déco tranquille avec la maquette à 5°. Ah oui, j'ai oublié de vous dire, un visuel à 230° pour le pilote (180° pour le navigateur).
Un peu de radada, quelques évolution (boucle, tonneau), j'arrive à rester sur l'horizon pendant les virages (ouf) et le moniteur m'aligne sur la piste où je fais un atterro au break pas trop mauvais . (pour de vrai ? J'ai pris un pied d'enfer à poser l'avion). Bon d'accord, le moniteur s'est occupé de gérer les aérofreins et le train, mais bon.
Vous voulez connaître mon sentiment ? C'est vachement plus dur...
Dans Falcon. Et pas seulement pour une question de visuel ! J'VEUX L'MÊME A LA MAISON .
On reste encore quelques minutes à discuter avec les moniteurs encore présents et nous quittons la base. Blacksheep me dépose ensuite en centre ville de Luxeuil où mon pote vient me récupérer (oui, il habite Luxeuil).
Et puis vint le moment de revenir que Paris d'où je vous ai composé ce message.
Merci encore à Blacksheep de m'avoir consacré ces quelques heures.
Pour ma part, ces 2 journées resteront gravées dans ma mémoire. J'aurais appris plein de choses et croisé des personnes qui font plus qu'un métier.
PS : je ne vous ai pas tout raconté, j'en garde un peu pour TS .
PS2 : désolé pour les fautes d'orthographes et autres erreurs de syntaxe, mais c'est la faute à l'heure.
Voili vloilou, j'espère ne pas vous avoir ennuyé avec mes bavardages.
Ost
Vers 14h15/14h30, nous sommes arrivé sur la BA 133, et il m'a accompagné au 1/3 Navarre où il m'a laissé entre les mains d'un NOSA (callsign : ZEBRA)qui m'a fait un topo plus que complet sur la préparation d'une mission type (temps de paix sur le territoire national).
Ensuite, passage sur le simu en place au sein de chaque escadron (qui est plus un simu d'acquisition et de restitution des procédures qu'un simu de vol proprement dit). J'ai quand même fait du suivi de terrain (200ft/600kts) en auto et en manuel, et une séquence AS30L (le fait d'avoir un navigateur bombardier simplifie grandement la tâche ).
Après ça, direction une hangarette où j'ai eu une présentation extérieure détaillée du 2000D et un passage dans le bac pilote pour donner une idée de la chose. confirmation par rapport au simu : Y'a pas beaucoup de place mine de rien.
A peine sorti de là, on a croisé un équipage qui se dirigeait vers son avion pour un départ en mission dans le sud de la France. Le temps que le NOSA prépare son avion (alignement INS et autres), le pilote faisait le tour de l'avion avec un personnel de piste. Pour ma part, j'étais assis sur l'entrée d'air gauche et ne manquait rien de ce que me disait le-dit NOSA (callsign : LAPIN). J'ai eu droit à une démo pod de désignation laser et à une explication sur la carto intégrée).
Vint ensuite le moment de la mise en route, et du départ de l'avion.
Petit coup d'oeil à la montre, déjà 18h30, je n'ai pas vu passer le temps.
Petit passage au bureau tradition, et acquisition de quelques patchs qui ferons bien dans la collection .
Je vous épargne la soirée, la nuit et le réveil pour en arriver directement aux retrouvailles avec mon leader qui était en circuit d'attente sur le parking visiteur, attendant l'arrivée de son ailier.
Passage à l'entrée base pour récupérer le sésame qui me permettrait de rentrer sur la BA 116 et direction l'ESTS (je laisse à Blacksheep le soin de démystifier de sigle) où nous attends un hangar rempli de 2000N en plein entretien et réparation (le paradis du maquettiste adapte du super-détaillage et du scatch). On bascule sur un autre hangar attenant au premier où des mécaniciens mettent un 2000N sous tension et nous laissent monter en place pilote pour un petit check cockpit (le 2000N est plus rustique que le 2000D en ce qui concerne l'avionique pilote).
Nous remontons dans les bureaux où je fais la connaissance de Mme Blacksheep qui, bien gentiment, passe un coup de téléphone qui nous ouvre les portes du BAR (j'en vois qui rigolent au fond, mais c'est pas ça). En fait, ce BAR là, le seul qui y boit, c'est le réacteur, car il s'agit du Banc d'Essai Réacteur. Et il a une bonne descente puisqu'il consomme 24 500 kilos à l'heure en pleine PC. Et là, nous avons assisté à des tests qui allaient du ralenti sol à la pleine PC. Et ben les gars, ça envoie du gaz un M53 en pleine PC et c'est bô. Pas le temps de s'attarder, nous filons à l'atelier réacteur où nous avons droit à un exposé sur le M53 et sur la manière de le décortiquer pour l'entretenir et le réparer. Impressionnant là aussi.
Nous quittons ensuite la base pour nous restaurer chez Blacksheep pour revenir sur la base pour le dernier "atelier" de la visite, le simulateur .
Le temps d'un explicatif des consoles moniteurs (ben ouais, comme c'est pour un avion biplace, y'a théoriquement 2 moniteurs), pendant qu'un équipage travaillait (j'aurais pas voulu être à sa place, son panneau d'alarmes, c'était les Champs Elysées façon éclairages de Noël ), on discute un peu et arrive le moment où il faut y aller.
Bon, j'avoue, j'étais quand même pas très fier, j'avais une réputation à tenir vis-à-vis de Blacksheep et puis même si "ce n'est qu'un simu", je n'avais pas trop envie de passer pour un blaireau .
Petit explicatif rapide sur les commandes de la part du moniteur qui s'est ensuite installé en place arrière (Blacksheep prenant place sur la plateforme pour superviser tout cela ).
Le seul hic, c'est que mon micro foirait et que je ne pouvais pas répondre au moniteur, mais bon, j'entendais ce qu'il me disait.
Et c'est parti : freins serrés, 103% affiché, on lâche les freins et on enclenche la PC. Déco tranquille avec la maquette à 5°. Ah oui, j'ai oublié de vous dire, un visuel à 230° pour le pilote (180° pour le navigateur).
Un peu de radada, quelques évolution (boucle, tonneau), j'arrive à rester sur l'horizon pendant les virages (ouf) et le moniteur m'aligne sur la piste où je fais un atterro au break pas trop mauvais . (pour de vrai ? J'ai pris un pied d'enfer à poser l'avion). Bon d'accord, le moniteur s'est occupé de gérer les aérofreins et le train, mais bon.
Vous voulez connaître mon sentiment ? C'est vachement plus dur...
Dans Falcon. Et pas seulement pour une question de visuel ! J'VEUX L'MÊME A LA MAISON .
On reste encore quelques minutes à discuter avec les moniteurs encore présents et nous quittons la base. Blacksheep me dépose ensuite en centre ville de Luxeuil où mon pote vient me récupérer (oui, il habite Luxeuil).
Et puis vint le moment de revenir que Paris d'où je vous ai composé ce message.
Merci encore à Blacksheep de m'avoir consacré ces quelques heures.
Pour ma part, ces 2 journées resteront gravées dans ma mémoire. J'aurais appris plein de choses et croisé des personnes qui font plus qu'un métier.
PS : je ne vous ai pas tout raconté, j'en garde un peu pour TS .
PS2 : désolé pour les fautes d'orthographes et autres erreurs de syntaxe, mais c'est la faute à l'heure.
Voili vloilou, j'espère ne pas vous avoir ennuyé avec mes bavardages.
Ost
Fly safe & have fun.
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